Depuis la loi du 9 décembre 1905, appelée loi de séparation des Eglises et des Etats, qui a eu pour but la rupture du Concordat de 1801 établit entre la France et le Vatican, l’Eglise Catholique a été mise sur le même plan et à « égalité » avec les autres religions. A « égalité » sur le principe seulement, car depuis cette rupture unilatérale, vivement condamnée par St Pie X, la religion catholique est depuis clairement traînée dans la boue.

Dès la mise en application de cette loi, l’état en profita pour faire l’inventaire des biens de l’Eglise Catholique et de se les attribuer. Nul ne peut ignorer ces épisodes où la République très tolérante et dans un souci d’égalité s’empara avec force et violence de ces biens, et chassa même les congrégations religieuses de leurs maisons et de leurs couvents.

 

Depuis, au nom d’une sois-disant laïcité, le catholicisme est chaque année montré du doigt, mis de côté, ses fêtes, qui ont font parties de l’histoire même de notre pays, sont dénoncées. On interdit les crèches  dans les bâtiments publics, mais à côté les personnes politiques ne gênent pas pour souhaiter aux musulmans un bon  ramadan ou une bonne hanouka aux juifs, alors qu’ils « oublient » de souhaiter un Saint et Joyeux Noël à tous les catholiques de France, préférant parler des fêtes de fin d’année.

 

L’Eglise étant la seule véritable religion, celle-ci ne saurait être privée des droits et des libertés qui lui dus.

Civitas demande donc l’abrogation de la loi de séparation des Eglises et de l’Etat et le rétablissement du catholicisme comme religion d’Etat pour l’instauration du règne social du Christ Roi.

 

Ceci implique donc de fait l’abrogation de tous les protocoles signés entre l’Etat (ou l’un de ses ministères) et des associations de type communautariste (LGBT, CRIF, LICRA,…) qui sont, de par leur nature même, opposées directement  au règne du Christ Roi,

Pour ce qui concerne les sociétés secrètes, dont le seul but est la destruction de l’Eglise Catholique et de la France, Civitas demande:
  •  Dans un premier temps, et sous peine d’interdiction d’exercice de la fonction, obliger à rendre publique l’adhésion à la franc-maçonnerie ou à toute autre société secrète dans les cas suivants : élus politiques et candidats aux élections, magistrats, fonctionnaires, journalistes.
  •  Dans un second temps, interdiction de la franc-maçonnerie et de toutes les sociétés secrètes, entraînant l’interdiction d’adhérer ou de fréquenter une société secrète