civitas-belgique.jpg

Ce lundi 29 septembre était certainement à marquer d’une pierre blanche pour la toute nouvelle section de CIVITAS-Belgique : la grande campagne de protestation lancée sur le web pour la venue de Judith BUTLER, égérie de la théorie du genre, dans une Université qui porte encore le nom de catholique (celle de Louvain) n’avait pas laissé que des indifférents (pour preuve le courriel d’un évêque de Belgique adressé in persona à l’un des nos membres)…

 

ucl-butler-socrate.JPG

 

C’est donc bien décidés qu’une dizaine de jeunes étudiants de Civitas allaient manifester leur désaccord vis-à-vis de la présence de Mme BUTLER à l’UCL.

ucl-butler-auditoire.JPG

L’auditoire de 700 personnes était plein à craquer (les cercles d’étudiants ayant mis les petits plats dans les grands), avec la présence remarquée d’au moins une quinzaine de vigiles, ainsi que des policiers en civil, pour entourer Mme BUTLER …venue parler de la non-violence : pour ce qui est du thème, elle était donc servie !

ucl-butler-micro.JPG

A la sortie, l’équipe de CIVITAS distribua des tracts affirmant clairement notre opposition à ses thèses et notre défense du droit naturel (à laquelle toute personne sensée et douée d’esprit d’analyse devrait adhérer).

Quelques jeunes ont accepté avec reconnaissance nos tracts (connaissant par ouï-dire CIVITAS), d’autres, pour la plupart, furent indifférents, ou alors plus rarement, convaincus des thèses de Judith BUTLER.

Dans la foulée, un inspecteur en civil vient se présenter à nous pour donner les consignes en matière de rassemblement et de manifestation et nous inviter gentiment à tracter un peu plus loin.

Alexandre – notre chef d’équipe pour la soirée – obtempère – non sans avoir poliment et fermement rappeler que notre action ne troublait pas l’ordre public et que nous souhaitions un débat contradictoire sur le trottoir.

Fin de soirée: la section tracte encore, dans la cité universitaire, jusqu’à des heures tardives dans les boîtes-aux-lettres.