Chers amis,

 

C’est la première fois que je m’exprime publiquement, en tant que président de CIVITAS, depuis le début du confinement, Jusqu’ici, j’ai voulu prendre le temps d’observer attentivement la situation en France et dans le monde afin que ce communiqué aborde à la fois les aspects géopolitiques, sanitaires, économiques et religieux de cette période trouble que nous subissons et propose également quelques perspectives pour la suite.

Je mesure que le message que je vous adresse ne va pas dans le sens de la pensée dominante et peut en ébranler certains, Je vous demande néanmoins de le lire entièrement. Il tient en six points énumérés ci-dessous :

  1. Pour votre santé, vous n’aurez plus de libertés
  2. Une épidémie qui cache une politique de santé calamiteuse et mortifère
  3. Hydroxychloroquine ou vaccin de Bill Gates ? Un enjeu totalitaire et mondialiste
  4. Un confinement qui ruine les Français
  5. L’échec d’une réponse sans Dieu à l’épidémie
  6. Dimanche 10 mai 2020 – Opération « Sainte Jeanne d’Arc, sauvez la France »

 

  1. Pour votre santé, vous n’aurez plus de libertés

L’une des plus grandes réussites du Diable est de parvenir à faire croire à beaucoup qu’il n’existe pas, De même, la police de la pensée s’évertue à répéter que les complots et les mensonges d’Etat n’existent pas, Autorités politiques et médias serviles s’entendent pour discréditer quiconque remet en cause la version officielle des événements.

C’est une évidence, n’est-ce pas, toute l’histoire de l’humanité, particulièrement celle des dernières décennies, démontre que les politiciens, les représentants de la haute finance et les journalistes partagent tous une exceptionnelle probité et un formidable sens du bien commun qui devraient nous conduire à accorder une confiance aveugle à tout ce qu’ils nous affirment.

Les troupeaux bêlants ont la mémoire trop courte pour se souvenir des montagnes de mensonges qu’ils ont gobés un à un de la part des prétendues élites qui pensent pour nous, Amnésiques, les troupeaux bêlants ne tirent aucun enseignement du passé, hypnotisés par ce qu’ils ont vu à la télévision, entendu à la radio, lu dans la presse, sans comprendre que ces médias qui ne survivent que grâce aux subventions de l’Etat et aux annonces publicitaires pour des produits de multinationales sont naturellement redevables à leurs maîtres.

Pire, la force du mensonge est accrue par la puissance de l’image et la manipulation des émotions, Quoi de plus efficace que de susciter l’effroi planétaire pour obtenir la soumission aux consignes les plus totalitaires.

Par peur du coronavirus, les populations ont accepté les privations des libertés les plus élémentaires.

Nous n’avons plus le droit de voir les membres de nos familles autres que ceux qui partagent le même logement que nous. Le Premier ministre a promis ce dimanche du changement mais nous n’avions plus le droit jusqu’ici de rendre visite à nos malades s’ils sont hospitalisés ou en EHPAD, même s’ils sont mourants, Nous n’avons plus le droit d’accorder des funérailles dignes à nos défunts, Nous n’avons plus le droit d’assister aux célébrations religieuses.

Pour nous protéger du coronavirus, un Etat policier s’est mis en place, qui utilise des drones avec caméras de surveillance, des hélicoptères avec équipement thermique, Des policiers fouillent les sacs des clients sortant des magasins encore autorisés à ouvrir, des gendarmes verbalisent une dame qui faisait un signe affectueux à son mari enfermé en EHPAD ou un fils qui voulait se rendre au chevet de son père mourant, Des Français dénoncent d’autres Français qui vont se balader au bois ou en montagne.

Mais le ministère de l’Intérieur accorde un confinement « allégé » dans les banlieues et quartiers immigrés ; le gouvernement libère huit mille détenus – dont 130 islamistes condamnés dans des dossiers de terrorisme – pour ne pas qu’ils attrapent le coronavirus en prison ; et les forces de l’ordre fuient devant des hordes de racailles qui multiplient les guet-apens.

 

  1. Une épidémie qui cache une politique de santé calamiteuse et mortifère

Dès les premières annonces de l’arrivée de l’épidémie de coronavirus en France, le gouvernement a assuré qu’il était prêt. Mais prêt à quoi ?

Il est rapidement apparu que le personnel hospitalier manquait de tout ce qui lui était nécessaire (masques et blouses de protection, respirateurs artificiels,…).

Il est rapidement apparu également que la France disposait d’un spécialiste en épidémiologie – le Professeur Raoult – qui proposait un traitement (hydroxychloroquine et azithromycine) efficace et peu coûteux. Or, le gouvernement s’acharne à tout faire pour empêcher les malades du coronavirus de bénéficier de ce traitement.

Dans le même temps, sous le prétexte de mettre à l’abri nos personnes âgées, tout est fait pour les isoler, les priver des visites de leur famille, leurs amis et même du prêtre pour les derniers sacrements.

Qu’importe aux personnes âgées d’être épargnées du coronavirus si c’est pour finir leurs derniers jours dans un abandon forcé. Beaucoup se laissent donc mourir tout simplement parce que ces mesures strictes de confinement leur ont fait perdre goût à la vie. D’autres voient leur santé mentale ou physique se détériorer jusqu’au stade fatal parce qu’elles ont été privées des stimulations de leur entourage habituel.

Et, comme s’il fallait par tous les moyens réduire le nombre de personnes âgées durant cette épidémie, un décret ministériel encourage le personnel médical à « soulager » les personnes âgées simplement suspectes d’être contaminées par le coronavirus en les traitant au rivotril, ce qui est tout simplement une euthanasie qui ne dit pas son nom comme l’a très bien expliqué le Docteur Nicole Delépine.

Toujours dans une perspective mortifère, le ministre de la Santé Olivier Véran déclare à l’Assemblée Nationale que l’avortement « doit être encouragé » durant l’épidémie de coronavirus et joint les actes à la parole en prenant des mesures pour faciliter l’avortement à domicile durant les neuf premières semaines de grossesse,

 

  1. Hydroxychloroquine ou vaccin de Bill Gates ? Un enjeu totalitaire et mondialiste

Le Prix Nobel de Médecine Luc Montagnier a déclaré que le coronavirus sortait du laboratoire P4 de Wuhan, en Chine. Or, ce laboratoire avait été inauguré… par une délégation française composée notamment du ministre Cazeneuve et du Docteur Yves Lévy, époux d’Agnès Buzyn, alors ministre de la Santé.

Ce même tandem Buzyn/Lévy a tout fait pour tenter de discréditer le Professeur Raoult et le traitement à l’hydroxychloroquine.

Dans les médias, des « experts » ont également été sollicités pour discréditer le Professeur Raoult et l’hydroxychloroquine sans préciser que ces mêmes médecins étaient liés financièrement à de grandes entreprises pharmaceutiques internationales qui ont l’intention de commercialiser un coûteux vaccin.

Le promoteur principal de ce vaccin est Bill Gates, le fondateur de Microsoft, présenté aux naïfs comme un philanthrope. Or Bill Gates possède des parts dans les principales industries pharmaceutiques travaillant sur un projet de vaccin contre le coronavirus. Bill Gates finance également ID2020, un projet de traçabilité numérique universelle. Et ID2020 a signé un accord avec GAVI, l’Alliance Globale pour les Vaccins et l’Immunisation, financée par la Fondation Bill & Melinda Gates, et dont la présidente du conseil d’administration est une ancienne directrice générale de la Banque mondiale. L’accord signé entre ID2020 et GAVI vise à inclure un implant de traçabilité numérique universelle dans les vaccins.

Ajoutons que la Fondation Bill & Melinda Gates et l’industrie pharmaceutique sont les principaux bailleurs de fonds privés de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).

Voilà pourquoi l’OMS, Bill Gates et Jacques Attali s’accordent à répéter que la clé du déconfinement final passe par la vaccination.

Que m’importe d’être épargné par le coronavirus si c’est pour finir esclave du Nouvel Ordre Mondial avec un implant qui permet à « Big Brother » d’épier tous mes faits et gestes.

Il faut s’opposer de toutes nos forces à cette hypocrite campagne de vaccination dont l’objectif final est tout sauf de sauver notre santé.

Il faut permettre à tous les médecins de suivre le protocole de traitement proposé par le Professeur Raoult.

Il faut qu’une enquête soit ouverte sur les responsabilités personnelles de différents ministres et anciens ministres ainsi que du Docteur Lévy.

Il faut mettre fin immédiatement aux mesures mortifères prises par le gouvernement.

 

  1. Un confinement qui ruine les Français

Sous prétexte de les protéger du coronavirus, des centaines de milliers de Français sont plongés dans la ruine. Des dizaines de milliers de commerçants, d’artisans, de petits entrepreneurs, sont inexorablement conduits à la faillite tandis que les chaînes de supermarchés s’accaparent leurs clientèles et accumulent des bénéfices exorbitants. Des millions de Français sont au chômage temporaire mais pour beaucoup le « temporaire » se prolongera bien après le déconfinement dans un pays économiquement et socialement sinistré.

Alors que tant de Français voient avec angoisse les factures s’accumuler, Emmanuel Macron leur répond avec cynisme par l’effacement de la dette… des pays africains.

Et la plongée dans la misère ne s’arrêtera pas là. Le gigantesque endettement du budget ayant explosé depuis le début du confinement, il faudra bien que quelqu’un paye. Et ceux qui devront régler la note seront probablement les petits épargnants. Alors que, depuis le début de l’épidémie, la haute finance apatride se livre à de grandes opérations de spéculation sur les marchés boursiers.

Que m’importe d’être épargné du coronavirus si je suis rendu incapable de nourrir ma famille et de subvenir à ses besoins les plus élémentaires.

Il faut mettre fin au confinement qui ne doit être réservé qu’aux malades.

Il faut que l’activité économique puisse reprendre, en accordant la priorité aux petits commerçants, aux artisans et aux petites entreprises.

Il faut préserver l’épargne des Français de toute tentative de spoliation. Il faut protéger les Français d’une nouvelle vampirisation fiscale.

Il faut mettre fin aux dépenses inutiles de l’Etat et des collectivités (subventions aux médias, aux associations parasites, coût de l’immigration, dons aux autres Etats,…).

Il faut adopter une politique économique de préférence nationale et sortir du modèle mondialiste ainsi que de l’Union Européenne.

Il faut adopter une vraie politique agricole française permettant la relance d’une paysannerie française à taille humaine apte à nourrir les Français par circuit court,

 

  1. L’échec d’une réponse sans Dieu à l’épidémie

Nous sommes encore dans la joie de Pâques. Mais nous sommes aussi consternés par la façon dont nous avons été privés des cérémonies liturgiques de la Semaine Sainte et de la résurrection de Notre-Seigneur Jésus-Christ.

Saluons les initiatives de prêtres tels que ceux de l’église Saint Nicolas du Chardonnet pour offrir aux fidèles un palliatif avec la mise en ligne en direct des offices religieux. Saluons aussi tous les prêtres de la Tradition qui ont utilisé diverses astuces pour accorder les sacrements à leurs fidèles.

Il est choquant de constater que les épiscopats ont souvent anticipé les demandes des autorités politiques.

Plus grave encore est de considérer à quel point rares ont été les protestations du clergé devant la fermeture imposée des églises et chapelles en un moment essentiel de l’année liturgique.

Du pitoyable actuel occupant du trône pontifical, nous ne pouvions attendre grand chose.

Mais comment admettre que largement de par le monde, et jusque parmi le clergé chargé de conserver la Tradition catholique, le monde catholique se soit plié avec une telle facilité aux ukases d’autorités politiques et sanitaires ?

Comment ne pas considérer que c’est un signe inquiétant de leur manque de Foi qui a conduit tant de cardinaux, d’évêques et de prêtres à se rendre directement ou indirectement complices de cette privation des sacrements ?

Des épidémies, il y en a eu et il y en aura encore dans l’histoire de l’humanité.

Mais c’est la première fois dans l’ère chrétienne que Dieu se trouve oublié, écarté même, des réponses à apporter à une épidémie.

Que m’importe d’être épargné du coronavirus si je suis privé des sacrements et tenu éloigné de Dieu ?

Il nous faut retrouver l’assistance à la sainte Messe. Pourquoi pas en plein air devant nos cathédrales, églises et chapelles, comme ce fut le cas lors de l’épidémie de peste à Marseille ?

Il nous faut des processions avec le Saint-Sacrement dans les rues de nos cités.

Il nous faut faire pénitence pour l’apostasie de nos nations et l’application de lois iniques et contre-nature.

Il nous faut témoigner publiquement de notre Foi.

 

  1. Dimanche 10 mai 2020 : Opération « Sainte Jeanne d’Arc, sauvez la France ! »

Le 10 mai 2020, deuxième dimanche du mois de mai, est le jour fixé pour rendre hommage à Jeanne d’Arc, sainte héroïne de France, dont nous célébrons cette année le centenaire de la canonisation.

CIVITAS avait prévu d’organiser ce jour-là un grand défilé national avec le faste propre à cet anniversaire unique.

Hélas, un tel défilé sera impossible.

Mais je vous appelle le dimanche 10 mai 2020 à participer à l’opération « Sainte Jeanne d’Arc, sauvez la France » , à venir fleurir la statue de Sainte Jeanne d’Arc la plus proche de chez vous et à y prier publiquement la sainte héroïne de sauver la France et d’intercéder pour nous auprès de Notre-Seigneur Jésus-Christ.

 

Alain Escada, président de CIVITAS