La circulaire du ministère de l’Intérieur n’a pas fini de faire parler d’elle. Après M. Julien Dray, qui parlait de « rafle » pour évoquer le recensement des migrants entrant sur le territoire afin de féliciter leur orientation vers les différents centres d’accueil, c’est au tour du Défenseur des droits et de son représentant, M. Jacques TOUBON, de s’indigner de cette mesure.

En effet, ce dernier affirme que c’est « une atteinte aux libertés et à la dignité des plus démunis », et l’institution avance sur son site les observations ci-dessous pour demander le retrait de la circulaire :

« Le seul critère pour la mise en œuvre de l’accueil inconditionnel dans l’hébergement d’urgence est la vulnérabilité des personnes, sans que puisse être prise en compte la régularité du séjour, contrairement à ce que prévoit la circulaire.

L’Office français de l’immigration et de l’intégration (OFII) n’a pas vocation à exercer, dans l’hébergement d’urgence relevant du cadre de l’action sociale, le contrôle administratif qu’il assure dans le dispositif national d’accueil des demandes d’asile et des réfugiés relevant de sa compétence. La légalité de son intervention, sans autorisation ni contrôle juridictionnel, apparaît dès lors incertaine.

Enfin, le recensement des personnes étrangères présentes dans l’hébergement d’urgence envisagé dans la circulaire, se heurte aux règles de confidentialité qui s’appliquent aux données sensibles telles que la nationalité et la situation au regard du séjour des étrangers dans les conditions fixées par la loi « informatique et libertés ».

Voilà tout est dit. Les personnes qui arrivent en France ont le « droit » de venir, de rester et de s’installer dans notre pays, quelque soit leurs intentions et le motif de leur venue. Et nous ? Nous, nous avons juste le « droit » ou plutôt le devoir, de nous taire et de les laisser faire sans poser de questions pour ne pas porter atteinte à leur dignité.

Une chose est sûre, le sois disant « défenseur » ne défend ni la France, ni les français, bien au contraire. D’ailleurs, dans la « Décision du Défenseur des droits n°2018-023 » celui-ci ne parle pas une seule fois des intérêts supérieurs de la France et des français. Ceux-ci ne comptent plus depuis bien longtemps…

Civitas entend défendre la France et les français, et s’oppose fermement à cette immigration de masse non contrôlée par les points suivants, énoncés de son programme lors des dernières  élections législatives:

  • Arrêt de toute immigration d’origine extra-européenne
  • Organisation de la rémigration
  • Remplacement du droit du sol par le droit du sang
  • Instauration de la préférence nationale (logements sociaux, emploi,…)
  • Instauration de la règle de préférence nationale dans tout ce qui relève de la consommation par l’Etat, les collectivités territoriales et locales et de tout ce qui en dépend.

En 2015 Civitas rappelait les principes chrétiens de la migration que vous pouvez retrouver ici.