Ce communiqué dit clairement les choses :

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Des affiches d’une campagne dite de prévention du sida, visibles en ce moment dans nos rues, choquent toute âme bien née. Nous n’en montrerons rien ici, pour ne pas ajouter au scandale. Il suffit de préciser qu’elles montrent notamment des hommes enlacés, parlent de " coup d’un soir ", avec " un amant ", " un ami " ou " un inconnu " et banalisent le vice et les mœurs contre nature.

Civitas réaffirme qu’il est inadmissible que, sous couvert de prévention du sida, l’argent du contribuable serve à promouvoir l’homosexualité et la débauche sexuelle.

En outre, les slogans et les visuels de cette campagne sont une invitation directe à voir la sexualité sous l’angle de l’esprit de consommation. C’est glauque, cela va à l’encontre de toute morale, de toute dignité, et c’est soutenu par deux ministres, à savoir Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la santé, et Laurence Rossignol, ministre des familles, de l’enfance et des droits des femmes.

Il est scandaleux que de telles affiches soient disposées sur la voie publique, parfois à proximité d’écoles, et ce avec le soutien d’une ministre qui a la famille et l’enfance parmi ses prérogatives.

Civitas félicite ceux qui rendent ces affiches illisibles. C’est faire œuvre de salubrité publique que d’empêcher ces affiches de continuer à polluer l’espace public et heurter la vue de tous, y compris de nos enfants.

La réaction populaire s’exprime. Ceux qui combattent cet étalage et cette banalisation de la perversion sont dans leur bon droit et ont toute notre approbation.

Alain Escada, président de Civitas