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La théorie du genre, ça n’existe pas, le gouvernement n’arrête pas de vous le dire !

Pourtant, en ce moment même se déroule la cinquième édition de la « queer week ». Et pas n’importe où : à Sciences-po Paris ! Or, la « queer week » se définit comme une « semaine de réflexion autour du genre et des sexualités« .

Et comme le répète Alain Escada lors de ses conférences, la pornographie est fréquemment utilisée parmi les différents vecteurs destinés à propager la théorie du genre et le nouvel ordre sexuel mondial.

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Pour preuve, le programme de cette « queer week ». La conférence inaugurale porte sur « les plaisirs précaires du travail pornographique« . Une autre a pour intitulé : « Les tubes porno : business, usage et audience« . Une autre encore traite de « l’écosexualité« , présentée comme « une sexualité inspirée par la nature, une sexualité faisant partie de la nature, ou faisant en réalité l’amour avec la nature« . Bienvenue dans le monde psychédélique ! Une autre conférence se consacrera aux « Histoires des objets de plaisir » et notamment aux « godemichets et vibromasseurs« . Sans oublier « Plaisir et prévention pour les femmes ayant des relations sexuelles avec d’autres femmes« .

Des « ateliers pratiques » seront organisés au sein même de l’université, entre autre par une « travailleuse du sexe« , comme l’écrit délicatement le programme. L’objectif est notamment de transgresser les normes dans un atelier consacré au « post-porno« . Dans cet atelier, il s’agira de « mettre en scène une sexualité non-normée, dans le but de rompre avec une conception de l’espace public normative et implicitement hétéronormée« . Un autre atelier est consacré  à « La réappropriation des corps trans par les trans eux-mêmes« . Les animateurs de cet atelier, Maud Yeuse Thomas et Karine Espinaira, sont co-auteurs d’une « transcyclopédie« .

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La « queer week » s’accompagne aussi de projection de courts métrages, en partenariat avec « Cineffable ». Parmi les résumés de ces courts-métrages, on lit ceci ; « Une réflexion à caractère pornographique sur lev sexe ? Le pornographique, cependant, n’est rien de plus que l’oeil voyeuriste de l’observateur qui mate l’espace privé et intime d’une chambre d’hôtel, part à la recherche d’un organe sexuel ou de n’importe quel caractère sexuel secondaire, afin de faire taire l’angoisse de l’incertitude. »

Quant aux « partenaires » de cette « queer week », on y trouve notamment Pink TV, chaînede télévision payante destinée qau public homosexuel et diffusant à partir de minuit des films pornographiques homosexuels.

Comment est-il admissible de transformer un tel établissement universitaire en un lieu de débauche, sans aucune retenue, pour la cinquième année consécutive ? Des étudiants ne manquent pas de témoigner de scènes ahurissantes auxquels ils assistent. Durant cette « queer week », certains se croient en droit d’étaler tous leurs vices aux yeux de tous. Et, de fait, cela se passe en toute impunité !

La « queer week » se terminera par une table ronde dévolue aux « alliances émancipatrices : au-delà du queer ?« . A ce sujet, le programme stipule cette interrogation : « Quelles coalitions commencent à devenir possibles maintenant que « la théorie du genre » est la cible d’autant d’hostilité de la politique institutionnelle ? Est-ce que « queer » suffit pour les nommer ?« .

Rappelons encore qu’une précédente édition de la « queer week » était « marrainée » par Céline Sciamma, la réalisatrice de Tomboy.

Si des parents doutaient encore du bien fondé de suivre les recommandations de Farida Belghoul (JRE) et Alain Escada (Civitas) de ne pas envoyer leurs enfants à l’école publique le 31 mars prochain, voilà certainement une information qui devrait les faire réfléchir !

(Lu sur www.medias-presse.info)